Terry Lee Brown Junior, un des pionniers (ou le seul) de la scène tech house revient en force sur Plastic City avec un nouvel album. 'Labyrinth', le titre de cet album, intervient au moment où sortent en même temps deux morceaux remixés sortis sur ces albums, ainsi que la double compilation Terry's Café et trois EPs (dont le dernier "Electric Avenue" sorti cette année)... sans compter bien entendu ses sets autour du globe.
Les morceaux sont toujours autant affinés, très mélodique, très aérien ; les émotions sont multiples et sensuelles, à l'image d'une touche funky et sexy. Au début de l'album on ressent également les influences lounge de son alter ego Nor Elle qui ont aidé à la création des premiers morceaux.
Les cinq premiers sont d'ailleurs concentrés autour d'une atmosphère veloutée, s'enchaînant d'une facilité déconcertante les uns avec les autres, dotés d'une mélodie toujours relaxante. Puis les suivants sont plus percutants : l'intensité du groove se fait ressentir sur les morceaux tels que "Dynasty" ou "Andromeda".
Interlude avec "Eyes of A Stranger" avant de replonger dans la ferveur rythmique de "Paradise", puis une inspiration très ensoleillée maquille le morceau suivant "Sunny Poseidon".
Enfin le reste de l'album s'imprègne beaucoup d'une ambiance club, les basses plus vives et les vocaux mettant le doigt sur l'intensité musicale du groove, sur "Baltimore" et "Bohemian Life"... avant de terminer sur "Labyrinth Reprise", dernière interlude qui ne semble pas se refermer, comme si le voyage parcouru tout au long de l'album n'était pas terminé.
En définitive Terry Lee Brown Junior signe une nouvelle fois un album d'une qualité exceptionnelle, riche en émotions et en sensibilité, un album qui respecte tout à fait les codes de la créativité de l'artiste et nous laisse rêveur.
Le Site de l'artiste ici
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The pioneer of tech house Terry Lee Brown Junior is back on Plastic City with his new album. “Labyrinth” the work is called Terry Lee Brown Junior created in his studio while he released two remix albums of his tracks, two episodes of the “Terry's Café” compilation series, three MP3 EP's (the latest called “Electric Avenue” released this year), travelled around the globe playing his great DJ mixes and all the rest of it.
“Labyrinth” truly is the next masterpiece of Terry Lee Brown Junior. The productions are very accurate, the interplay of moods, sounds and emotions is functional an sexy, very concidered and perfectly restaged. At the beginning it seems Terry's lounge alter ego Nor Elle had influence on the production process.
Very stereoscopic, reduced to full and deep atmospheres the first five tracks “Neutral”, “Ego Expedition(with Greg Parker)”, “Black Mountains”, “It Started Right Here (with The Timewriter” and “Stereopsis” give a dreamy and relaxed impression of the longplayer. These are moods once want to fall in. But the intensity of beats and grooves does not forget to add some rhythmic warmth to the tracks.
In the next tracks “Dynasty”, “Andromeda” and “Tribe” Terry focuses on beats and percussions, surprises with some laid back melodies before calming down with the interlude “The Eyes Of The Stranger” and the downbeat house track “Sunny Poseidon”. After this Terry sprays pure dancefloor feeling in the atmosphere with “Baltimore” and “Bohemian Life” before closing the album with “Labyrinth_Reprise”.
Terry Lee Brown Junior steps out his labyrinth with eyes wide open. Searching for new ways to achieve his aims. The result is a very sensitive new album with all the love for music you can expect from Terry Lee Brown Junior.
His website
mercredi 29 septembre 2010
- REVIEW : LABYRINTH by TERRY LEE BROWN JUNIOR -
- REVIEW : HORIZON by SASSE -
Alors que sa carrière progresse, Sasse est une personnalité très disparate. En effet voilà plusieurs années que cet artiste nous démontre un travail remarquable, un travail qui ne lasse pas du tout le public sur les dancefloor, mais il y a toujours ce petit quelque chose qui fait que, malgré sa carrière, ses productions sont efficaces mais pas aussi bien qu'elles le laissent paraître: elles ne s'inscrivent pas vraiment dans le temps. Et même si son pseudonyme Freestyle Man lui a fait prestige autour de l'an 2000, sa musique très contemporaine reste néanmoins figée.
Pourtant 'Horizon' semble prendre plus de poids. Sasse lui incombe assez de personnalité pour que le single sorte du lot, avec un vocal qui ressemble beaucoup à celui de The Buggles 'Video Killed the Radio Star', et une petit impulsion sonore dans la progression du morceau. Le remix de Sammy Dee est tout aussi respectable; son associé de Perlon associe un synthétiseur, repère phare du label, pour lui donner un groove beaucoup plus "elastique", et donne ainsi au remix un ton qui ne laisse pas statique la foule.
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As his career has progressed, he's seemingly opted for safety and functionality. While that may work on the floor and in keeping people locked into what you get when you buy a "Sasse" track, it doesn't make for memorable music. Yes, it's hard to find someone that dislikes his productions. But it's also hard to find someone that loves them. It's weird, especially considering some of the phenomenal work he produced in the late '90s and early '00s as Freestyle Man and under other monikers, music that still sounds as fresh as the day it was put to tape.
I'd be willing to wager, though, that "Horizon" may make it the distance. Sasse suffuses his remarkably functional tune with just enough personality to make it stand out. What sounds like a vocal rip from The Buggles' "Video Killed the Radio Star" and a just-a-tad-too-loud synthetic woodblock break up the spiraling chord progression. The compressed format—this one comes on 10-inch—doesn't indicate a lack of ideas. The same goes for Sammy Dee's remix of the tune. The Perlon associate's take is fairly indebted to the modular synth-heavy sound of the label, but its elastic groove is just queasy enough to keep you guessing for every moment of its seven-and-a-half minutes.
Source : Resident Advisor
lundi 27 septembre 2010
- KARISMA PODCAST 012 : MISS DISK -
Née en Allemagne mais résidant à Ibiza depuis ces 15 dernières années, il n’est pas difficile de constater que les influences de Miss Disk sont nombreuses. Passant du dancefloor au contrôle des platines, la progression en est évidente, et son succès n’est pas des moindres. Dans un laps de temps très court, Miss Disk est passée des soirées en Hollande à des projets artistiques en clubbing à Ibiza, et c’est en 2007 que cette femme est rapidement devenue une icône sur l’île en matière de tech house. Découverte entre autre par la webradio américaine Frisky Radio (friskyradio.com) et ensonic.fm basée à Montréal, elle fut choisie pour joué à « La Comunidad » en Allemagne et fut la première femme DJ à jouer au « GreenKomm », un bar after à Cologne.
Miss Disk joue fréquemment sur Ibizasonica.com et joue également au KM5 ou l’ El Divino. La saison 2008 fut très prometteuse pour elle sur Ibiza, et elle se lance sur la scène internationale depuis l’année dernière sur son style préféré : deep house bien sûr.
Sa marque de fabrique a toujours été de privilégier des morceaux house de qualité, sans se concentrer sur ce qui ceux qui fonctionnent très bien dans le domaine de la vente.
C’est en 2010 qu’elle obtient une résidence sur Frisky Radio et héberge « Paradigm Deep Sessions », une émission qui ne cesse de toucher un public de plus en plus nombreux.
Le MySpace de Miss Disk ici
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Hailing from Germany and living on Ibiza for the past 15 years, it comes to no surprise that Miss Disk's influences have been numerous. So moving on from the dancefloor to the dj-booth was nothing more than natural progression. It's been successful too. In only a small period of time she moved from spinning at parties in Holland and artclubbing projects to Ibiza.
In 2007 Miss Disk's talent and ability to seamlessly mix an extraordinary range of tech-house, progressive and house beats didn't go unnoticed. As a “newcomer” she'was discovered by several inernational radiostations like friskyadio.com (USA) and ensonic.fm (Montreal) with a great feedback. She was chosen to play with the Ibiza Party "La Comunidad" in Germany and she's the first female DJ at the famous Cologne afterhour "GreenKomm".
Miss Disk is a frequent guest at IbizaSonica.com and played her quality dance music sets in influential clubs like km5 and El Divino. After a successful season 2008 on the white island, she conquered London's party scene. In 2009 she elaborated her international career and became more focused on her favourite style:deep house!
Her trademark has always been a unique blend of quality house music regardless the "latest hype" and shows a true talent.
In 2010 she was requested to host her own radio show "Paradigm Deep Sessions" on www.friskyradio.com with an incredible feedback and an increasing fanbase every month.
Radioshow's Miss Disk here
DOWNLOAD KARISMA PODCAST 012