Une nouvelle compilation est en passe de sortir sur Moodmusic, à la fin du mois : il s'agit de 'Forgotten - A Moodmusic Compilation'.
C'est à Turku en Finlande que le producteur Sasse a lancé le label au milieu des années 90. Plus tard, il a monté un magasin de disque à Berlin et a vendu des centaines de sorties deep. Le catalogue héberge des artistes talentueux tels que Dirt Crew, Lil Tony ou encore Henrik Schwarz, des 12 pouces qui sont relativement taillés pour les clubs, mais malgré tout "Forgotten" démontre que la deep house représentée par le label peut être également plus souple, plus raffinée, et donc moins percutante. On peut souligner à juste titre le travail émérite de Tony Lionni et du boss de Dessous Recordings Vincenzo. C'est la deuxième compilation de l'année en comptant "Moodmusic Chapter 4" paru cet hiver. Et pour couronner le tout cette toute nouvelle compilation sera bien entendu disponible exclusivement en numérique.
______
Moodmusic has a new compilation series in the works, beginning later this month with Forgotten - A Moodmusic Compilation.
Sasse launched Moodmusic in Turku, Finland back in the mid-'90s. In the years since then, he's set up shop in Berlin and put out more than 100 deep records. With a catalog that includes Dirt Crew, Lil Tony and Henrik Schwarz, their 12-inches tend to aim squarely for the club, but Forgotten shows a slightly deeper side of the label, thanks in part to debut appearances from Tony Lionni and Dessous Recordings boss Vincenzo. The collection will be Moodmusic's second this year, following last winter's Moodmusic Chapter 4. As with that release, Forgotten will only be available digitally.
PREVIEW - Sasse & James Flavour - Henry Street (Original) by sasse
lundi 6 décembre 2010
- NOUVELLE COMPILATION sur MOODMUSIC RECORDS -
mercredi 29 septembre 2010
- REVIEW : HORIZON by SASSE -
Alors que sa carrière progresse, Sasse est une personnalité très disparate. En effet voilà plusieurs années que cet artiste nous démontre un travail remarquable, un travail qui ne lasse pas du tout le public sur les dancefloor, mais il y a toujours ce petit quelque chose qui fait que, malgré sa carrière, ses productions sont efficaces mais pas aussi bien qu'elles le laissent paraître: elles ne s'inscrivent pas vraiment dans le temps. Et même si son pseudonyme Freestyle Man lui a fait prestige autour de l'an 2000, sa musique très contemporaine reste néanmoins figée.
Pourtant 'Horizon' semble prendre plus de poids. Sasse lui incombe assez de personnalité pour que le single sorte du lot, avec un vocal qui ressemble beaucoup à celui de The Buggles 'Video Killed the Radio Star', et une petit impulsion sonore dans la progression du morceau. Le remix de Sammy Dee est tout aussi respectable; son associé de Perlon associe un synthétiseur, repère phare du label, pour lui donner un groove beaucoup plus "elastique", et donne ainsi au remix un ton qui ne laisse pas statique la foule.
______
As his career has progressed, he's seemingly opted for safety and functionality. While that may work on the floor and in keeping people locked into what you get when you buy a "Sasse" track, it doesn't make for memorable music. Yes, it's hard to find someone that dislikes his productions. But it's also hard to find someone that loves them. It's weird, especially considering some of the phenomenal work he produced in the late '90s and early '00s as Freestyle Man and under other monikers, music that still sounds as fresh as the day it was put to tape.
I'd be willing to wager, though, that "Horizon" may make it the distance. Sasse suffuses his remarkably functional tune with just enough personality to make it stand out. What sounds like a vocal rip from The Buggles' "Video Killed the Radio Star" and a just-a-tad-too-loud synthetic woodblock break up the spiraling chord progression. The compressed format—this one comes on 10-inch—doesn't indicate a lack of ideas. The same goes for Sammy Dee's remix of the tune. The Perlon associate's take is fairly indebted to the modular synth-heavy sound of the label, but its elastic groove is just queasy enough to keep you guessing for every moment of its seven-and-a-half minutes.
Source : Resident Advisor